vendredi 5 décembre 2014

Et bien, non....

Très curieusement, l'enquête parcellaire, contrairement à ce qu'indique l'arrêté, ne concerne pas Vitry, mais le seul tronçon entre les gares Vitry-Centre et Les Ardoines, et donc pas le tronçon vitriot entre Villejuif-Aragon et Vitry-Centre où se trouve le puits 14....

samedi 29 novembre 2014

L'enquête parcellaire démarre

Le cauchemar semble arriver à son terme, puisque lundi 1er décembre s'ouvre l'enquête parcellaire concernant les tréfonds et les ouvrages annexes pour les communes de Cachan, Vitry et Créteil, ainsi que l'indique l'arrêté n°2014/7042, ci-joint.

Devrait donc y être clairement indiquer l'emplacement du puits 14.

samedi 21 juin 2014

Ça continue !


La recommandation n°1 de la Commission d’enquête publique préconise fortement la solution de déplacement de l’emplacement du puits 14, initialement prévu rue Camélinat dans les propriétés privées de deux familles, au 153, de la rue du Génie, sur un terrain d’activités artisanales désaffecté.

C’était le 7 février dernier. Depuis, pas le moindre signe de la part de la SGP. L’attente continue …. et les travaux aussi, comme si de rien n’était !

Un forage de prospection est prévu dans les prochaines semaines, dont le repérage a été fait ... exactement à l’endroit dénoncé par le rapport de la Commission !

Que se passe-t-il ?

L’emplacement n’aurait-il pas été changé ? Sans en avertir les familles concernées et à leur détriment ?

Ou bien ce forage inutile et coûteux, à 65 m de profondeur (dixit le technicien venu faire le repérage), est-il le résultat d’une absence de coordination des entreprises sous-traitantes de la SGP ?

Cette attente est déjà en soi inadmissible. Cet acharnement la rend insupportable !

Le Conseil général, par la voix de M. Favier, son président, dans un courrier du 18 février, s’est déclaré très favorable à la solution de remplacement, et vigilant à sa mise en œuvre. Nous l’alertons donc, ainsi que Mme COUX, chef de projet de la SGP, ce jour, par courrier recommandé...

Ça continue…

samedi 15 février 2014

Le Puits 14 s’invite à l’ultime conseil municipal du 12 février


Monsieur Potier, adjoint au Maire, a essayé d’interpeller le Maire et les élus sur « les questions posées de manière pertinente par des habitants actuellement impactés dans leur domicile par le futur puits 14 de desserte du tunnel du métro à venir ». 

Mais, intervenant hors ordre du jour, quoique à la suite d'une autre question de DUP pour la ZAC Rouget-de-Lisle, monsieur Potier s’est fait rappeler à l’ordre par monsieur Leprêtre, adjoint responsable de l'urbanisme, en ironisant de manière peu convaincante sur la question d'un « puits dans la ZAC Rouget-de-Lisle !»

Néanmoins, monsieur Bourjac, adjoint au maire, a alors repris la question du puits 14, pour laquelle il « avait été saisi légitimement par les familles», rappelant en passant que les élus représentent les populations.

C'est alors que madame Agier, adjointe au maire, est réintervenue sur la question, en alertant notamment sur le risque de voir une DUP fragilisée et attaquable, soulignant l'importance d'agir en concertation avec la Société du Grand Paris.

Monsieur le Maire a alors pris la parole, malheureusement peu audible depuis la salle. Quelques fragments perceptibles « …..crois avoir rencontré une personne concernée....suis intervenu......techniciens continuent à travailler....très attentifs à l'évolution de leurs travaux....suggère de revenir à l'ordre du jour.... » ….......n'ont pas semblé apporter d'éléments très signifiants.

Voir aussi le compte-rendu de ce conseil municipal par Monsieur Potier.

mardi 11 février 2014

L'erreur matérielle


Nous avions dès le début, et à plusieurs reprises, signalé, ce qui est d’ailleurs souligné dans le Rapport de la commission, la contradiction flagrante entre le projet d’implantation aux 21 et 23 de la rue Camélinat, et la Mise en conformité (MEC) du PLU, qui confortait l’inscription de ces deux maisons au patrimoine bâti d'intérêt local. Ce dont s’étonne le Rapport de la commission d'enquête, puisque toutes les parties concernées (SGP, Ville, DRIEA, département, etc.), rappelle-t-il, ont été associées au choix du tracé.

On trouvait ainsi précisé dans la MEC du PLU de Vitry (p.28), que « le tracé en
souterrain est implanté sous trois éléments du patrimoine bâti identifiés au titre de l’article L.123-1-5 7° du code de l’urbanisme :
  • Deux au niveau de la rue Camélinat à l'Ouest du territoire communal. [l’un de ces trois éléments inclut les 21 et 23 rue Camélinat]
  • Le dernier au Sud de la rue Léon Mauvais.

Le projet en souterrain n’aura pas d’incidences sur eux. [en gras dans le texte]»

Pas de puits donc au 21 et 23 de la rue Camélinat. Autosatisfaction même : le patrimoine bâti ne sera pas affecté !

Une telle bévue, symptomatique de l’enchaînement des erreurs qui a, par exemple, conduit au permis de construire de 2011, est due selon monsieur le Directeur de la DRIEA (Direction Régionale et Interdépartementale de l’Equipement et de l’Aménagement d’Ile-de-France) à « une erreur matérielle » !


Il constate en effet que : « Le dossier de mise en compatibilité du plan local d’urbanisme de Vitry-sur-Seine comporte une erreur matérielle portant sur la localisation d’un ouvrage annexe. La réalisation du projet de réseau de transport public du Grand Paris prévoit la réalisation d’un ouvrage assurant des fonctions de ventilation et d’accès pompier à l’intersection de la rue Camélinat et de la voie Arthur Honegger, sur l’emprise des parcelles cadastrées AQ0302, et AR0163, appartenant à des propriétaires privés et sur la parcelle cadastrée AQ0303, appartenant à la ville de Vitry-sur-Seine.
Les pièces du plan local d’urbanisme relatives au patrimoine bâti d'intérêt local, identifient les immeubles concernés, situés au 21 et 23 de la rue Camélinat, comme étant à protéger ou à mettre en valeur, en vertu du 7° de l’article L. 123-1-5 du code de l’urbanisme. »

On se demande bien de quel type d’ « erreur matérielle » il peut s’agir ? clavier d’ordinateur autonome ? imprimante (trop) intelligente ?

Mais qu’à cela ne tienne, cette « erreur matérielle », qui a marqué d'un point aveugle le puits 14 (qui n’existe tout simplement pas dans la MEC), se répare d’un trait de plume !

Puisque « par conséquent, une modification du dossier de mise en compatibilité est nécessaire. » (Pièce 3, p. 232)



Même opération pour la cartographie et les photographies.

Carte indiquant la localisation du patrimoine bâti, réputé non affecté par la Ligne rouge, publié dans le Dossier de l'enquête publique


Carte indiquant la localisation du patrimoine bâti, réputé non affecté par la Ligne rouge, après correction de "l'erreur matérielle"

Extrait du Dossier de modification du PLU








On peut d'ors et déjà modifier la modification qui corrige d'un trait de plume l'"erreur matérielle", puisque quoiqu'il arrive, après optimisation de sa solution d'implantation, la Société du Grand Paris n'utilisera pas la maison du 23.

Il faut donc remettre le n°23 à la liste du patrimoine bâti d'intérêt local, et recoller la photo !





























lundi 10 février 2014

L’optimisation selon la Société du Grand Paris

La recherche d’une solution alternative passe, pour la Société du Grand Paris, par une optimisation afin de réduire la surface nécessaire à la construction du puits.


La parcelle alternative rue du Génie est en effet plus petite que l’ensemble des parcelles initialement prévues. Mais bizarrement, c’est pour n’affecter qu’une seule des deux parcelles de la rue Camélinat que cette optimisation est citée (pièce 2, p. 122)
«  ainsi, seule une des deux parcelles de la rue Camélinat (n°21) serait nécessaire ».

La maison du 23, rue Camélinat, semble donc bel et bien sauvée. Ce dont nous nous réjouissons, mais qui, bien sûr, est largement insuffisant.

L’examen plus approfondi de cette solution du 21, dont nous ne voulons pas, laisse par ailleurs perplexe.

On y constate ainsi au moins une étrangeté, puisqu’il y est fait mention d’expropriations de tréfonds qui resteront « nécessaires au n°23 pour le rameau ».

On voit mal pourquoi le rameau ferait un crochet par le 23, plutôt que de rejoindre directement le tunnel par un rameau perpendiculaire et en ligne droite.

Par ailleurs, « un accès serait maintenu pendant le chantier pour les véhicules empruntant le chemin privé situé sur la parcelle du 21 rue Camélinat. »

On dirait qu’à nouveau une « erreur matérielle » s’est glissée ici, puisqu’il n’existe pas de chemin privé sur la parcelle du 21. Par contre, la parcelle du 23 a été réduite, il y a quelques années, pour élargir la voie Honegger. On peut donc penser que les véhicules passeraient… par la voie publique Honegger telle qu’elle est…

Décidemment, outre les erreurs de numéro, il semble que la Société du Grand Paris continue de travailler sur des documents quelque peu obsolètes. Ce que la photo aérienne utilisée confirme puisque n’y apparaît encore pas l’extension de la maison du 21, dont le permis de construire a été accordé en 2011, et qui est finie depuis août 2012.

Tant d’imprécision ne peut que nous inquiéter.





Pièce 2, p. 122

dimanche 9 février 2014

Le Rapport de la commission d'enquête publique, les principaux éléments





D’abord le constat de la commission d’enquête concernant les 3 erreurs principales  (pièce 2, p.128)







Puis la commission se déclare favorable à l’une des propositions alternatives que la SGP considère comme possible juridiquement et techniquement, qui nécessiterait  (pièce 2, p.128) :








Mais, selon la commission (pièce 2, p.129), cette nouvelle implantation serait d'autant plus acceptable qu'elle reste dans le pourcentage de modification tolérée par la jurisprudence, et :


  • qu'elle limite les préjudices humains (pas d'expropriation d'habitants)
  • qu'elle apaiserait les "remous créés autour des ces expropriations jugées injustes, dans la mesure où elles reposent sur une erreur d'appréciation"
  • qu'elle préserve "les espaces verts, en effet la parcelle 21 comporte un jardin arboré et planté d'espèces végétales variée."



Pour autant, la commission s'en remet à la SGP pour décider d'adopter ou non cette solution puisque elle " génère un impact sur l’infrastructure existante et peut-être sur le coût de l’opération, il appartiendra donc à la SGP d’apprécier l’importance de ce coût par rapport aux avantages humains et sociaux qu’apporterait cette éventualité."(pièce 2, p.129)


En conclusion, « la commission d’enquête prend acte de la volonté de la SGP de trouver une solution » et « à ne procéder à l’acquisition rue Camélinat qu’en cas d’impossibilité avérée. » (pièce 2, p.129)

On note là une contradiction inquiétante, puisque finalement, il se pourrait que l' "impossibilité avérée" se réduise à une question de coût !

vendredi 7 février 2014

Le Rapport de la commission d'enquête publique

Le rapport de la commission d'enquête est en ligne.

Un extrait de la pièce 4 du rapport : Avis et conclusions (p. 16)


Le projet d'emplacement du puits 14 ne fait donc pas l'objet d'une réserve de la part de la commission comme M. Chaulet, son président, nous l'avez laissé espérer. 

Néanmoins, la solution de remplacement proposé par la Société du Grand Paris est la première des 12 recommandations que comportent ce dossier.

Reste à savoir ce qui détermine... une impossibilité avérée... ce n'est pas terminé !

mardi 4 février 2014

Un article du Parisien

Dans Le Parisien du 3/02/14, sous la plume de Louis Moulin :





Commentaires

  • Les habitants se battent maintenant, non pas depuis des semaines mais depuis des mois, depuis le 12 octobre 2013.
  • Si la Société du Grand Paris n'est pas la seule coupable, elle n’en reste pas moins le seul interlocuteur, et l’instance décisionnaire, pour corriger une erreur, qui n'aurait pas dû exister si son travail avait été mené correctement. A savoir la nécessaire  vérification foncière, préalable à tout choix définitif : en effet, ce tracé, souvent qualifié "à l'état encore de projet"; n’en a pas les qualités, puisque quasiment non modifiable.



samedi 25 janvier 2014

Un courrier de Mme COUX


Mme COUX, directrice de projet de la Société du Grand Paris, a adressé un courrier aux deux familles concernées pour les informer :

  • que la Société du Grand Paris a remis un mémoire, début janvier,  à la Commission d’enquête en réponse aux observations émises par le public ;
  • les propositions alternatives à l’emplacement du puits 14 faites par les familles ont été étudiées et donnent lieu à « une réponse argumentée à chacune d'entre elles » ;
  • la Commission rédige un rapport et des conclusions qui après avoir été remis au Préfet de région et au Président du tribunal administratif seront rendus public courant février ;
  • il nous sera alors loisible de prendre connaissances des éléments de réponse de la Société du Grand Paris et de l’analyse de la commission d’enquête.


Décryptage :

  • Les « réponses argumentées » laissent augurer un refus de ces alternatives.
  • Ce courrier ne se place que sur le terrain de la procédure. Aucun engagement, ni même aucune volonté de corriger la faute avérée qui a présidé au choix de cet emplacement, ne sont affirmés.


mardi 14 janvier 2014

Hasard et coïncidence !


Notre lettre ouverte à Monsieur le Maire de Vitry croise la réponse à notre courrier du 24 novembre 2013, par Monsieur Leprêtre, adjoint chargé de l'urbanisme, au nom du Maire.

La teneur est conforme à ce qui nous a été dit lors de la cérémonie des vœux :
  • la Mairie est « particulièrement attentive » à nos demandes ;
  • mais « le projet du métro relève  de la responsabilité de la Société du Grand Paris » ;
  • les « services [municipaux] ont travaillé étroitement avec ceux de la Société du Grand Paris pour rechercher des sites alternatifs » ;
  • les recherches sont toujours en cours.


Aucune réponse concernant les incohérences de la mise en conformité du PLU, aucune réaction concernant l’ignorance apparente par les services municipaux de l’emplacement du Puits 14 (permis de construire) en dépit des concertations avec la Société du Grand Paris.

lundi 13 janvier 2014

Mais que fait la Ville ?


En l’absence de réponse de la part de la Ville de Vitry, nous décidons de nous rendre à la réception des vœux du Maire, le samedi 11 janvier, pour lui remettre une lettre ouverte en main propre.

 Malheureusement cela n’a pas été possible.

Tout d'abord très avenant, Monsieur le Maire s’est immédiatement rétracté dès que le Puits 14 a été évoqué, nous laissant face à ses adjoints.

M. Kennedy, 1er adjoint, s'est montré tout à fait amusé par cette agitation (pétition, envoi de mails, etc.), puisque personne n’avait  encore reçu d’avis d’expropriation (!). Il a cependant enjoint M. Leprêtre, 5eme adjoint au maire, responsable de l’urbanisme, à nous répondre par courrier dès le lundi matin.

Devant notre insistance à entendre la position de la Ville sur ce problème, et redemander son soutien, ce dernier a déclaré :
  • qu'on ne pouvait modifier la totalité d'un tracé de 32 kms pour  nous !
  • que des recherches de solutions alternatives étaient toujours en cours
  • que le projet de métro n'était pas de la responsabilité de la Ville
  • qu'il n'y avait rien à soutenir



En conclusion, nos questions sont indésirables et hors sujet !

  • Même si  la Mairie a délivré un permis de construire (voir précédemment),  sans vérifier sa compatibilité avec le projet de métro ;
  • même si le conseil municipal a appprouvé le PLU  inscrivant ces maisons au titre du patrimoine bâti, sans vérifier sa compatibilité avec le projet de métro (voir précédemment)



Cette position stupéfiante, alors même que la Ville aurait pu, au cours de la concertation qui a présidé au choix du tracé, se rendre compte de l’erreur, nous désole profondément.

Nous envoyons, donc, par mail, la lettre ouverte à Monsieur le Maire.


mercredi 8 janvier 2014

La réponse de Monsieur FAVIER, Président du Conseil général du Val-de-Marne


Datée du 3 janvier, nous recevons ce jour une réponse de Monsieur FAVIER, Président du Conseil général du Val-de-Marne

C’est le premier retour de la part des pouvoirs publics et institutions impliqués dans ce projet, et auxquels nous nous sommes systématiquement adressés.

Ce courrier nous apprend que :



  •      Moniseur FAVIER est à l’écoute de la « préoccupation légitime » des familles concernées;
  •      Ses services ont été saisis pour « accompagner la Société du Grand Paris dans la recherche d’une solution » ;
  •      Il est admis que « bien qu’elles soient limitées techniquement et réglementairement, des marges de manœuvres existent quant au positionnement [du puits 14]. L’objectif de la procédure d’enquête publique est d’ailleurs de permettre des ajustements du projet au regard des observations exprimées » ;
  •      et est confirmé que « la Société du Grand Paris a cherché à implanter ces ouvrages annexes sur des emprises publiques afin de minimiser l’impact sur le foncier privé. C’est dans cette logique que l’implantation de l’ouvrage annexe n°14 a été envisagée sur des parcelles identifiées, à tort, comme publiques » ;
  •      mais seule une solution, considérée comme difficile mais possible, dans le fuseau de 50 m de part et d’autre du tracé, est envisagée ;
  •      la question du Puits 14 a été abordée lors du 10ème comité technique sur la gare de Vitry-Centre, le 28 novembre dernier, qui réunissait la Société du Grand Paris, la Ville de Vitry et le Conseil général ;
  •      le Conseil général y a fait une proposition d’emplacement, mais trop éloigné du tracé ;
  •      mais Monsieur FAVIER affirme que « plusieurs autres scénarios alternatifs ont été identifiés [dans le fuseau] et font actuellement l’objet d’études ».




Décryptage :

    


  •     C’est la première fois qu’un responsable nous répond et s'engage. Nous en remercions vivement Monsieur FAVIER.
  •     C’est aussi la première fois que nous avons la confirmation, par écrit, de l’erreur.
  •     C’est enfin la première fois que l’on nous informe que la question a été concrètement prise en compte par les instances compétentes.
  •     Des solutions alternatives existent, et sont à l’étude.
  •     Mais on nous les présente comme fragiles, difficiles à réaliser, incertaines.
  •     Elles sont en effet très limitées si l’on reste strictement dans le fuseau, comme nous l’avions indiqué.
  •     Ce qui laisse persister la menace du maintien sur l’emplacement actuel,
  •     mais le fuseau y est qualifié de « zone d’intervention préférentielle », ce qui pourrait aussi laisser entendre que si la solution ne s’y trouve pas, rien n’interdit de regarder au-delà.


      

« le Conseil général restera vigilant sur ce dossier, de sorte à ce qu’une solution alternative optimale soit retenue pour l’implantation de cet ouvrage annexe. », conlut Monsieur FAVIER.

Si nous nous réjouissons de l’intervention et de l’appui manifeste du Conseil général du Val-de-Marne, nous nous étonnons du silence de la Ville de Vitry, pourtant directement impliquée dans la recherche d'une solution,  et  nous attendons encore la confirmation par la Société du Grand Paris de l' ABANDON DÉFINITIF DE L’EMPLACEMENT PRÉVU DU PUITS 14, POUR UNE SOLUTION SANS EXPROPRIATION D’HABITANTS NI DÉMOLITION DE PAVILLONS

dimanche 5 janvier 2014

Chronologie (9) : Après la clôture de l’Enquête publique


À la suite de l’Enquête publique, nous alertons toutes les autorités compétentes et concernées, les élus et personnalités :

  • la Ville, par un courrier à Monsieur le Maire datée du 24 novembre, et plusieurs demandes de rendez-vous par téléphone auprès de son cabinet et du secrétariat de monsieur Leprêtre, adjoint au Maire, élu référent du quartier, et chargé de l'urbanisme. En vain.
  • Monsieur Président du Conseil régional d'Ile de France le 28 novembre : aucune réponse
  • Madame la Ministre de l'Égalité des Territoires et du Logement, le 9 décembre : aucune réponse
  • Monsieur le Préfet du Val-de-Marne : le courrier est transmis pour attribution à la DRIEA (Direction régionale et interdépartementale de l’équipement et de l’aménagement)
  • Monsieur le Défenseur des droits : une réponse en accusée réception
  • Monsieur le Vice-Président du Conseil d'Etat, et 2 copies dans ses services : réponse en accusé de réception d'un des services
  • Monsieur le Président du Conseil Général du Val de Marne, voir réponse
  • Monsieur Jean-Luc Laurent, député de la 10e  circonscription de Vitry, est alerté par mail le 7 janvier, nous le rencontrons aussi lors de la réception des vœux du Maire le 11 janvier : sans réponse
  • Monsieur René Rouquet, député de la 9e circonscription de Vitry :  sans réponse



Le 12 décembre, pour voir à quoi ressemble une enquête parcellaire, nous nous rendons à la première phase de l'Enquête, qui concerne les gares (une deuxième enquête parcellaire doit avoir lieu ultérieurement pour le tunnel et les ouvrages annexes, dont le puits 14 fait partie). 
La rencontre fortuite avec la responsable du service foncier sera considérée ultérieurement, dans la réponse au courrier du 24 novembre, par monsieur Leprêtre, comme équivalente à un rendez-vous accordé par la Ville…


samedi 4 janvier 2014

Chronologie (8) : Commission d’enquête

La commission d’enquête a été close le 18/11/13. Nous avons donc consigné dans le cahier, et envoyé par courrier à M. Chaulet, président de la Commission d'enquête, l’ensemble des erreurs qui apparaissent dans le Dossier d'enquête publique, notre demande d’abandon de l’emplacement prévu et des propositions alternatives, ne nécessitant ni expropriation d’habitants, ni démolition de pavillons.

Nous avons obtenu l'assurance orale de M. Chaulet qu'une réserve serait émise par la Commission d'enquête au sujet de l'emplacement du Puits 14, à laquelle la Société du Grand Paris serait réglementairement tenue de répondre.. mais pas de résoudre...

vendredi 3 janvier 2014

Chronologie (7) : "Je rechercherai la solution qui permette de sortir par le haut"

Après la réunion publique, le 14 novembre à Noisy-le-Grand, un dialogue s'engage avec Mme COUX, directrice de projet à la Société du Grand Paris






Verbatim :


Mme Coux : on vous promet une réponse là dessus...on recherche aussi un parc..on a aussi un parc dans une résidence
I.D. :  où ça ?
Mme Coux  : Dans la rue qu'on a repérée
I.D. :  dans quelle rue ?
Mme Coux  : Je ne sais pas exactement ..qui c'est ...je n'ai pas la personne qui travaille sur ce sujet...donc je ne peux pas vous mais
I.D.  : Parce que à distance de 800 m ...vous ne pouvez pas aller plus loin que ça...

Mme Coux  : Non non non mais dans la rue Camélinat...dans votre rue, oui. On a vu une parcelle dans une résidence, une parcelle verte  

M.D. : il y a un cèdre du Liban protégé
Mme Coux  :  ah ben voilà oui... mais faut savoir ...c'est tellement dense que, soit on trouve...alors je vais regarder votre proposition  aussi parce qu'elle peut être intéressante
I.D.  : c'est un terrain de la mairie, depuis 40 ans il est vide
Mme Coux : oui oui d'accord, on va regarder parce que on a un fuseau, on ne se ballade pas comme çà...il faut aussi qu'on vérifie que par ailleurs on ne puisse pas avoir d'autres dégâts par ailleurs, d'autres contraintes, je vais quand même regarder. Nous on regarde plutôt celle-là, je vous le dis tout de suite, c'est celle là qu'on regarde en ce moment
I.D.  : c'est absolument effrayant pour les gens qui sont dessus parce qu'il y a tout un ensemble de logements aussi...
Mme Coux  :  oui mais au bout  d' un moment, soit on fait sauter une maison soit ...
I.D.  : vous n'avez pas 1600 m2 là ?
Mme Coux  :  Ah si , bien sûr que si, on a 1600 m2 là, bien sûr que si, ...la parcelle est vachement plus grande, ça se voit tout de suite on voit tout de suite
I.D. : non mais là c'est un bâtiment ... vous allez tout de suite voir que c'est pas possible..enfin bon...
autre interlocuteur : c'est lequel ? Celui là à l'angle
Mme Coux  : c'est lié à  une résidence qui est tout autour, tout autour là il y a un espace vert
I.D.  : alors il y a aussi un terrain pourri : ici c'est un terrain pollué ; on le sait parce qu'il y  a des agents immobiliers qui nous le proposaient pour l'acheter. Ça ça fait 1000 m2, c'est un terrain pollué, et là il y a une sente qui est probablement...[…]
Mme Coux  : mais c'est à qui ?
I.D.  : C'est à un privé
M.D.  : mais c'est inoccupé...
I.D.  :  ...c'est une ancienne,
M.D.  : une entreprise
I.D.  : un ancien bâtiment d'activités vous voyez, ils construisaient des fenêtres en aluminium...ça c'est la rue du génie....Là on est en plein dans le faisceau, c'est évident. Mais....nous, si vous voulez, on n'arrive pas à comprendre pourquoi ces sondages qu'ont été fait ici, parce que on se trouvait à côté ! si ils étaient faits ici, ils donneraient la même chose
Mme Coux  : ben oui, je pense....on est....probablement . Oui on n'est pas dans une zone où il y a beaucoup de failles ou des choses comme ça, donc.....

I.D.  : Donc modifier, c'est pas...on peut dire incurver, je ne sais pas, on peut choisir la terminologie qu'on veut, ça fait environ 70 m à partir du sondage pour poser un truc ici. Là vous avez une parcelle qui fait 1500 m2, qu'on a identifiée, on a demandé au cadastre, on s'est informé...on a fait toutes les démarches et là on n'a pas encore fait mais je suis sûre que ça appartient à la mairie, parce que elle s'est constituée  des  réserves foncières ….
Mme Coux  : écoutez, on va regarder ;  ce qu'il y a ...c'est pour ça que je... ne croyez pas qu'on prenne les choses à la légère, c'est que instruire çà c'est pas en 5 mn...Moi j'ai un prestataire qui vient de recevoir la ...on lui a demandé de travailler là-dessus, ils sont allés sur place, donc ils sont en train d'instruire, on va lui faire instruire ça ! Mais ça prend un peu de temps, en plus il faut que je revoie la mairie de Vitry, que je cautionne ça avec eux, que je voie ce qu'il y a au PLU et après je …..C'est pour ça que je ne peux pas vous donner une réponse tout de suite
I.D.  : mais quand vous nous donniez les contraintes qui étaient : distance de 800 m des puits, dans le fuseau et terrains publics, y a pas, vous comprenez ?
Mme Coux  : oui oui non, mais après on fait sauter, ce qu'on achète nous c'est des terrains privés, après
I.D. : si vous élargissez en effet les possibles

Mme Coux  : notamment ça, c'est du privé mais on a ailleurs  des ouvrages annexes pas que sur des terrains publics,  j'ai des ouvrages annexes sur des parkings, dans des jardins de résidences...ça fait pas plaisir aux gens mais
I.D.  : alors il y a quand même quelque chose qui nous inquiète dans votre réponse, c'est compromis, vous avez parlé tout à l'heure de compromis, qu'est ce que vous entendez par compromis, on va sans doute... on va travailler on va réfléchir ensemble et on va arriver à un compromis. Qu'est ce que pourrait être un compromis ?
Mme Coux  : je ne sais pas pourquoi j'ai dit ça, comment je l'ai dit dans ma phrase....je ne sais pas..
I.D.  : qu'est ce que pourrait être un compromis ?
Mme Coux  : Non non,  nous c'est assez euh......je ne sais pas.... franchement je ne sais plus ce que j'ai dit tout à l'heure  pourquoi j'ai parlé de compromis. Mais le compromis, je pensais à cette parcelle sans doute ...parce que c'est à dire que là on dégrade la vie des gens puisque si on leur met un parking,  un puits dans leur jardin ...
I.D.  : y a pas d'accès
M.D. : en plus y a pas d'accès parce que là en plus il est surélevé. Y a pas d'accès à la rue
[…]
Mme Coux  : c'est pas une bonne idée alors !
I.D.  : non je ne crois pas que ce soit une bonne idée : ça c'est vraiment un bâtiment construit et là il y a le gros cèdre , et ça d'ailleurs c'est inconstructible à cause du cèdre, parce que c'est un cèdre centenaire..
Mme Coux  : hum et de l'autre côté ?
I.D.  : alors de l'autre côté c'est construit, tout ça c'est construit !

Mme Coux :  et là..là là il y a ...voyez c'est pas plus grand que votre propriété ça ….nous on a besoin de …à terme ….bon, non,vous vous connaissez mieux que moi , bon je ne peux parler de….Je sais que mon  bureau d'étude est allé voir et il nous a dit que ce serait  peut-être possible
I.D.  : je crois pas, franchement

Mme Coux  : en tous cas, je vous remercie pour vos propositions parce qu'on va les regarder
I.D.  : ça je vous dis c'est un terrain pollué d'une entreprise..et puis ça c'est certainement des terrains privés mais …....On est quand même un petit peu scandalisés en effet quand il y a des terrains publics, malgré tout, d'une grande superficie, parce que je vous dis, ça ça fait 1500 m2, vides depuis 40 ans , des générations qui...
Mme Coux  : mais c'est parce que.....pourquoi vous êtes scandalisés ? parce que nous ce qu'on voyait c'est que votre terrain, avant il y avait des locataires, ou il n'y avait personne , c'est pour ça qu'on a pris votre terrain et le vôtre
I.D.  : les locataires c'est quelqu'un
Mme Coux : oui d'accord, mais les locataires c'est pas...on peut les....c'est pas pareil que des propriétaires, des locataires
R. : si mais quand même ils sont locataires
Mme Coux  : non mais les propriétaires eux c'est autre chose, parce qu'un propriétaire, il s'engage dans la vie
B. : c'est l’État qui a vendu
Mme Coux  : oui c'est vrai
B. : c'est l’État qui a incité ses locataires à acheter, c'est pas tellement paradoxal
Mme Coux : c'est vraiment …..dommage, c'est vraiment …
I.D.  : c'est l'erreur
Mme Coux : Ben nous, moi je suis un petit peu....euh......oui...
I.D.  : vous vous êtes aussi victime de l'AFTRP
Mme Coux  : oui je me trouve dans une position difficile alors qu'on avait  cru que c'étaient des parcelles d’État

I.D.  : la mairie non plus n'a pas fait son boulot en nous accordant un permis de construire
 Mme Coux  : ça ça j'ai aussi du mal à comprendre
G.D. : je voudrais revenir sur une chose ; c'est que vous n'avez pas exclu la possibilité qu'on fasse une petite déviation, alors que vous l'aviez exclu auparavant
Mme Coux  : non c'est pas ça, en fera pas de petite déviation , c'est que si...
I.D.  : Vous pouvez peut être utiliser ça
Mme Coux  : vous savez, bon je n'ai pas le fuseau en tête...on n'a pas toujours les ouvrages annexes, on peut par exemple avoir le tunnel ici et un ouvrage annexe ici, tout en étant dans le fuseau...donc ici, moi ce terrain, si ça se trouve il est pas si éloigné que ça. Ensuite si jamais on devait trouver une bonne solution, si ça c'était une bonne solution, qu'elle soit ici par rapport à notre fuseau , je veux dire en réponse à la commission d'enquête, elle en prendrait compte. Voilà, donc je ne vais pas bouger mon tunnel forcément . Soit peut-être éventuellement je peux le faire comme ça, soit éventuellement , toujours dans le fuseau, et avoir un ouvrage annexe. C'est pour ça que je dis, il faut trouver le bon....pour moi l'important c'est de trouver la parcelle !
G.D.: donc vous n'insistez pas sur les 50 m finalement, vous pouvez mettre votre...en dehors des 50 m
Mme Coux  : ça pour un ouvrage annexe alors qu'il y a un gros problème, je pense que le commissaire enquêteur sera le premier à dire qu'on a cherché une solution à un gros problème


Mme Coux  : là ce soir je ne vous donne pas de réponse.... pourquoi je ne vous donne pas de réponse, ce n'est pas parce que je n'ai pas envie de vous rassurer, c'est que je n'ai pas envie de vous induire en erreur une deuxième fois, je souhaite le faire, mais bon...
I.D.  : ben oui mais vous admettrez que jusqu'ici quand on nous a donné les conditions, c'est à dire les conditions qui étaient exclusives l'une de l'autre on ne pouvait pas rester dans le fuseau à une distance de 800 m des gares..
Mme Coux  : la distance de 800m elle est toujours à garder, c'est un décret de 2005
I.D.  : oui, plus ..il y a trois choses impossibles, d'ailleurs vous le voyez bien ! Donc là vous avez envisagé d'abord les terrains privés, pourquoi pas, celui-ci honnêtement je crois que c'est..il faut vous rendre sur place pour voir..que quelqu'un voie sur place mais je vous assure que
Mme Coux : ce n'est pas moi qui le ferai mais c'est d'autres personnes
I.D.  : mais ça, en effet ce sont des terrains qui sont absolument pollués, qui sont invendables parce qu'ils sont pollués, c'est un agent immobilier qui nous l'a dit, parce qu'on voulait l'acheter avant d'acheter le nôtre, donc on est au courant et puis là, il y a certainement un élargissement pour une sente qui devait ….parce que tout ça c'était amené à …..

Mme Coux  : bon écoutez, moi  ce soir je ne vais pas pouvoir aller plus loin ce que je peux vous promettre, je sais que je suis enregistrée, c'est de regarder les trois terrains que vous nous proposez ce soir et , 1 2 3 , la sente, le terrain pollué , le 30 rue Berlioz et de vous faire une réponse circonstanciée en espérant très honnêtement que ce soit qu'un de ces terrains soit porteur d'une solution, sinon ben il faudra trouver  autre chose et ...de toutes façons on est obligés de trouver une solution sinon on ne fait pas le métro ; mais je vous remercie pour votre recherche... ce que je voulais vous dire aussi c'est qu'on va la chercher aussi avec la ville de vitry, parce que eux aussi il faut qu'ils se …
I.D.  bien sûr mais on a quand même l'impression que depuis, enfin, en dehors de ça, vous n'avez pas cherché vraiment à ...enfin nous ...il suffisait de voir le cadastre et puis de demander à qui appartenait ….C'est quand même assez vite fait, quoi !
Mme Coux  : oui mais c'est derrière, ce que vous ne voyez pas c'est que derrière il y a une recherche de parcelle d'une part et après il y a une recherche de positionner le puits, de voir après ???….parce qu'un puits il doit pouvoir être connecté au tunnel, tout ça, donc ça c'est un travail qui doit être fait par mon bureau d'étude qui en ce moment a beaucoup d'autres choses à regarder aussi..mais on le fera

I.D. : mais je peux vous assurer que dans l'état actuel des choses, le puits il ne va pas dans la configuration prévue parce que on ne peut pas mettre le puits sur nos terrains sans démolir tout, et l'extension
Mme Coux  : on est d'accord, on est d'accord, au départ on avait bien l'intention de prendre ...votre terrain, de démolir et de mettre une grille et de laisser un des deux pavillons
I.D.  ; alors ça c'est quand même contradictoire
M.D. : en contradiction avec la mise en compatibilité du PLU, puisque dans le plan d'urbanisme il est bien spécifié que les maisons restent intactes
Mme Coux : c'est là où il y a, c'est là où je pense que je n'ai pas eu complète information au départ de la ville de Vitry peut-être
I.D.  : non mais là c'est la ville de Vitry qui ne considère pas non plus que
M.D. : que vous détruisez
G.D. : elle nous a donné un permis de construire
M.D. : elle ne considère pas que vous détruisez
Mme Coux  : voilà mais il y a eu sans doute des mauvaises euh...... des mauvaises communications, en tous cas moi maintenant  j'ai ce dossier à instruire et je vais le faire et je rechercherai la solution qui permette de sortir par le haut de ...

I.D.  : en termes de délai pour nous tranquilliser ; c'est à dire que nous quand on a fait l'acquisition  de ça et quand on a fait une extension c'était pour être tranquilles pour pouvoir envisager l'avenir. Là on est encore dans l'entre deux, c'est à dire qu'on ne sait  pas encore si on va changer la chaudière...on ne sait pas si on va planter des arbres....jusqu’à quand on va...
Mme Coux  : je pense que le commissaire enquêteur va exiger une réponse de nous(inaudible) c'est à dire qu'on doit faire un rapport …..
I.D. :.....donc à la fin de la partie….??? on ne va pas attendre jusqu'à l'étude parcellaire....
Mme Coux  : ça vous mène à la semaine, je pense que vous aurez la totalité des réponses au premier trimestre 2014, écrites, lues, etc.  le commissaire enquêteur m'a dit  "vous ne pouvez pas répondre ce soir" ; j'ai dit "non , ce ne serait pas sérieux de répondre à ces gens sans que ce dossier soit vraiment instruit" et ça prend plus de temps, vous savez, les ouvrages annexes....
I.D.  : nous on continue quand même la mobilisation parce que tant qu'on n'est
Mme Coux  : évidemment pour vous c'est la catastrophe
I.D.  : c'est une véritable catastrophe parce qu'on cherchait à être tranquilles et là on ouvre à nouveau une incertitude qui est insupportable....






Décryptage 

  • Mme COUX ne connait pas bien la situation, en tout cas, pas les lieux.
  • Depuis plus d'un mois, peu a été fait pour trouver une solution : uniquement un repérage sur vue aérienne (tout le projet a été bâti sur vues aériennes !), qui donne un résultat non viable (parc avec cèdre centenaire classé, et terrain inaccessible car surélevé par rapport au niveau de la rue).
  • Sous la pression, Mme COUX admet la possibilité d’un fléchissement du tracé dans les limites du fuseau, et l’implantation d’un ouvrage annexe à distance, avec un rameau.
  • Mme COUX reconnaît l’erreur initiale (avoir cru que ces propriétés étaient publiques, et incidemment que cette supposée opportunité foncière a déterminé le tracé).
  • Mme COUX reconnaît un cafouillage avec la Ville de Vitry.
  • Mme COUX admet qu’il s’agit bien d’une catastrophe pour les victimes de ces erreurs.
  • Et elle promet de "rechercher la solution qui permette de sortir par le haut".


Sans s’engager à la trouver la solution, celle qui signifierait l’abandon de cet emplacement ! 

N'est-ce pas pourtant un devoir que de réparer des erreurs qui mettent en jeu la vie de personnes dont le seul tord est de s'être engagé (dixit Mme COUX), à l'invitation de l'Etat, dans un choix de vie.